lundi 21 septembre 2009

Les dangers de la piscine

Réputée sport le plus complet, la natation n’a pourtant pas la côte en milieu urbain. La peur du « bouillon de culture » n’est pourtant que peu légitime.

Les yeux qui piquent, la mauvaise surprise de découvrir un nouvelle verrue ou encore des mycoses : la piscine apparaît comme le cauchemar des organismes fragiles. « Les pathologies liées à la natation sont d’abord des pathologies liées à l’eau » affirme le docteur Françoise Friemel, médecin du sport et maître de conférence à la faculté de médecine de Créteil. La sphère ORL est la première concernée. Les otites sont souvent le lot des nageurs. Pour les éviter : séchez soigneusement vos oreilles après la baignade et si elles sont fragiles, portez des bouchons d’oreille. Pour le nez, il existe des pince-nez, souvent utilisés par les nageuses synchronisées. Les conjonctivites menacent également les nageurs. Les maladies de peau telles que les mycoses et autres verrues existent bel et bien. Le port de tongs hors du bassin vous protègera des microbes. Les bronchites des nageurs sont également au palmarès des maladies des piscines. Une récente étude du Pr Alfred Bernard de l’Université Catholique de Louvain (Belgique) fait le lien entre un développement de l’asthme et le chlore. L’asthme est d’ailleurs reconnu comme maladie professionnelle chez les maîtres-nageurs. Il ne faut toutefois pas dramatiser. La piscine n’est pas non plus un univers totalement hostile. La natation est une activité sportive complète. C’est d’ailleurs le seul sport à muscler toutes les parties du corps. Mais s’il est bon pour le dos, il faut tout de même faire attention au rythme et à la nage pratiquée. Ainsi, les genoux douloureux éviteront la brasse et les problèmes d’épaule, le papillon et le crawl. Cependant, la natation est un sport qui convient tout à fait aux personnes en surpoids, aux femmes enceintes, aux cardiaques et aux personnes âgées car un corps immergé est en apesanteur. Le tout est de demander conseil à son médecin pour savoir quelle nage sera la plus adapté à son cas.

Des filtres en cours d’amélioration

Le temps du chlore déversé à tout bout de champ pourrait bientôt prendre fin. La chloramine est le principal ennemi des nageurs et le casse-tête des ingénieurs pisciniers. Cette substance, à l’origine des problèmes d’asthme, est très volatile. Comme il est impératif de tuer toutes ces bactéries, on passe aujourd’hui à l’ozone. Technique complémentaire à l’usage du chlore, elle permet de diminuer la quantité de chloramine. « L’autre solution technique, c’est le charbon actif. » explique Rémy Vieille, responsable des équipements sportifs de la Mairie de Paris. Inspirée par les techniques en usage en Allemagne, la Mairie de Paris a décidé d’intégrer ce système à la piscine Armand Massard. Un filtre de charbon actif capture toutes les chloramines. Cependant, les filtres doivent être souvent vérifiés et changés car en cas d’encrassage, les dégâts pourraient être plus dangereux qu’un ordinaire surdosage de chlore. Ainsi le port du bonnet de bain n’a pas été rendu obligatoire pour nous donner une allure ridicule mais bien pour empêcher l’accumulation de déchets organiques comme les cheveux dans les filtres. On peut aussi penser un jour à la piscine biologique. Les Scandinaves ont déjà opté pour ce système. Il existe des piscines biologiques mais uniquement chez les particuliers : la loi française prévoit uniquement le système chloré pour les piscines publiques (arrêté du 7 avril 1981).

Source : santelavie.com

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dimanche 20 septembre 2009

La souffrance du maître nageur

Educateur sportif, Gaston Houdry n’exerce plus depuis deux ans. Comme des dizaines de maîtres nageurs en bassin couvert, il souffre d’avoir été exposé aux chloramines. Mais il ne parvient pas à faire reconnaître cette maladie professionnelle par son employeur.

Si les troubles respiratoires liés à l’exposition aux chloramines sont connus, ils tardent à être répertoriés comme maladie professionnelle par l’administration.
Gare à ceux qui en sont atteints : un véritable parcours du combattant les attend. Depuis plus de deux ans, Gaston Houdry, éducateur sportif au syndicat d’agglomération nouvelle (San) du Nord-Isère, se bat pour faire reconnaître sa maladie comme maladie professionnelle.

Cet athlète de haut niveau travaille depuis 1993 à la piscine de Saint-Bonnet, à Villefontaine, comme maître nageur. L’été, en plein air, et l’hiver autour d’un bassin couvert. Il y a trois ans, il commence à souffrir d’une gêne respiratoire de plus en plus prononcée.
Etonnant, pour un homme qui n’a jamais fumé et qui s’est toujours imposé une stricte hygiène de vie. Même son footing quotidien devient difficile. Lui, le féru de compétitions, lui qui vient de participer aux championnats du monde de parapente et qui a remporté la coupe de France de course d’orientation de ski de fond... s’essouffle pour monter les escaliers de son immeuble.

Gaston Houdry a perdu un tiers de sa capacité respiratoire
« Ce qui m’arrivait était vraiment difficile à accepter. Il me devenait impossible de rester une semaine complète autour d’une piscine. Je ne tenais pas plus de trois jours sans attraper le premier virus qui traînait, se souvient le sportif. A chaque fois que je revenais vers le bassin, mes difficultés respiratoires empiraient. » Son médecin traitant ainsi qu’un spécialiste des voies respiratoires lui découvrent une forme d’allergie asthmatiforme, qui évolue en asthme chronique. Le 15 mai 2001, le médecin du travail du San déclare Gaston Houdry inapte au poste de maître nageur : il a perdu un tiers de sa capacité respiratoire. Le surveillant de baignade remplit alors un dossier de prise en charge en longue maladie, puis en maladie professionnelle, qu’il présente au comité médical de la fonction publique en novembre 2001. En attendant, il est arrêté pour « maladie ordinaire » et ne peut s’absenter de chez lui qu’à certaines heures.
Malgré ces démarches, la maladie professionnelle n’est pas reconnue. Son médecin du travail l’autorise alors à reprendre le travail à condition qu’il ne mette plus les pieds au bord d’un bassin. Une véritable libération pour Gaston Houdry, qui ne supportait plus d’être enfermé à la maison depuis près d’un an, en attendant « les régulières visites de contrôle des médecins ». Mais c’est sans compter avec le peu de considération que semble lui accorder son employeur. Celui-ci lui envoie un premier courrier, le 9 novembre 2001, dans lequel il l’informe qu’il n’y a pas de poste disponible pour lui. Le 22 février 2002, le San place le maître nageur en « disponibilité d’office », en attendant sa mise « à la retraite pour invalidité ».
Or Gaston Houdry, qui a cinquante-trois ans, n’a pas travaillé le nombre d’années requis pour toucher une retraite convenable. Sur les conseils de Jean-François Béal, militant syndical à la Cgt et président de la Mutuelle du San, il adresse à son employeur une demande de « recours gracieux ». Compatissant, semble-t-il, ce dernier consent à lui proposer, à la mi-avril, un poste au service « qualité de l’espace urbain » pour, notamment, « ramasser les ordures diverses » et « nettoyer les marchés à la demande ». C’est faire peu de cas de ses problèmes respiratoires !
Humilié, le maître nageur refuse la proposition. En mai, l’employeur finit par lui offrir un poste à la bibliothèque. Et depuis (cela fait sept mois), Gaston attend. « Je suis passé de commission en commission pour la reconnaissance de la maladie professionnelle, qui permettra mon reclassement », constate-t-il, blasé par cette interminable attente.

Maladie professionnelle reconnue pour Marc Souchal
Echange de courriers, entretiens... les longues et éprouvantes démarches imposées à Gaston Houdry ne sont pas, heureusement, le lot de tous. Bien épaulés, certains maîtres nageurs ont eu moins de mal à faire reconnaître leur maladie professionnelle. C’est le cas de Marc Souchal. Alpiniste, triathlète et randonneur, celui-ci remarque, en 1999, une chute brutale de ses performances.
Dans le même temps, il attrape bronchite sur bronchite. Son médecin lui propose des examens poussés, grâce auxquels il décèle « une maladie respiratoire, très vraisemblablement en relation avec son exposition prolongée et cumulée à des produits irritants, qui nécessite une éviction totale de ce milieu ». Le 9 mai 2001, le médecin du travail le déclare « inapte au poste de maître nageur-sauveteur » et demande qu’il soit « reclassé dans un poste à l’extérieur de la piscine ». Le 29 avril dernier, la commission de réforme reconnaît que l’affection dont souffre Marc Souchal est bien une maladie professionnelle et lui propose des indemnités. Attentif à ses problèmes, son employeur, la mairie du Pont-de-Claix, lui propose un poste d’éducateur sportif.
A la différence de Gaston Houdry, Marc Souchal s’est senti compris et aidé durant ces mois d’incertitude. Un soutien d’autant plus important qu’à la maladie viennent souvent s’ajouter des difficultés d’ordre relationnel.
C’est ce que note Thierry*, lui aussi maître nageur et également malade des bronches : « J’étais irrité, agressif, je n’avais aucune envie de dialoguer », reconnaît, la voix cassée, le sportif, qui ne trouvait plus de motivation pour travailler. Si son employeur lui a proposé d’enseigner aujourd’hui le surf et la plongée, Thierry sait que cette maladie a brisé sa carrière. « J’étais chef de bassin, j’allais passer chef d’établissement... », regrette-t-il.

Source : viva.presse.fr

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samedi 19 septembre 2009

Swimming pools may be fueling allergies

Extract from an msnbc article, Sept. 15, 2009

Swimming in a chlorinated pool may boost the odds that a child susceptible to asthma and allergies will develop these problems, a study indicates.

"These new data clearly show that by irritating the airways of swimmers chlorination products in water and air of swimming pools exert a strong additive effect on the development of asthma and respiratory allergies such as hay fever and allergic rhinitis," Dr. Alfred Bernard, a toxicologist at the Catholic University of Louvain in Brussels, Belgium, noted in an email to Reuters Health.

"The impact of these chemicals on the respiratory health of children and adolescents appears to be much more important — at least by a factor of five — than that associated with secondhand smoke," Bernard noted.

Taken together with his team's prior studies, he added, "There is little doubt that pool chlorine is an important factor implicated in the epidemic of allergic diseases affecting the westernized world."

In children with allergic sensitivities, swimming in chlorinated pools significantly increased the likelihood of asthma and respiratory allergies, the researchers report in the journal Pediatrics.

Among "sensitive" adolescents, the odds for hay fever were between 3.3- and 6.6-fold higher in those who swam in chlorinated pools for greater than 100 hours and the odds of allergic rhinitis were increased 2.2- to 3.5-fold among those who logged more than 1,000 hours of chlorinated pool time.

For example, among children and teens who swam in chlorinated pools for 100-500 lifetime hours, 22 children out of 369 (6.0 percent) had current asthma, compared with those who had spent less than 100 hours (2 of 144, 1.8 percent). The proportions with asthma rose with longer exposure, to 14 out of 221 (6.4 percent) who had been swimming for 500-1,000 hours, and 17 out of 143 (11.9 percent) who swam for more than 1,000 hours.

"The only plausible explanation" for these observations, the researchers argue, is that the chlorine-based toxic chemicals in the water or hovering in the air at the pool surface cause changes in the airway and promote the development of allergic diseases.
"It is probably not by chance," Bernard told Reuters Health, "that countries with the highest prevalence of asthma and respiratory allergies are also those where swimming pools are the most popular."

The current findings, he and colleagues conclude, "reinforce" the need for further study on the issue and to enforce regulations concerning the levels of these chemicals in water and air of swimming pools.

vendredi 18 septembre 2009

De l'eau traitée par les rayons UV

Un citoyen de Chicoutimi (Canada), domicilié dans le rang Saint-Martin, a fait installer hier, sur le terrain de sa résidence, la première fosse septique avec désinfection par rayonnement ultraviolet au Saguenay-Lac-Saint-Jean.

Il s'agit d'une nouvelle technologie qui traite les eaux usées de la résidence avant de les rejeter dans l'environnement sans qu'elles soient filtrées dans un champ d'épuration. L'eau qui est rejetée satisfait aux normes de l'eau de baignade ou mieux.

Le conseil municipal de Saguenay a adopté un règlement autorisant l'utilisation de cette technologie éprouvée, la semaine dernière, ce qui permet aux résidences non conformes de respecter la réglementation.

«Il y a environ 250 résidences à Saguenay qui ne sont pas conformes à la réglementation sur les fosses septiques. Il s'agit la plupart du temps de maisons isolées, non raccordées au système d'égout municipal qui ne peuvent aménager un champ d'épuration en raison de la configuration du terrain ou de la composition des sols. Le système de traitement par rayons ultraviolets offre maintenant une nouvelle solution pour ces cas problèmes», explique le président de l'arrondissement de Chicoutimi, Jacques Fortin, qui était sur place dans le rang Saint-Martin, hier, en compagnie des maîtres d'oeuvre pour faire valoir le nouveau règlement municipal.

Réjean Lepage, conseiller en traitement des eaux usées pour l'entreprise Bionest, dont le siège social est à Grand-Mère, confirme que l'eau qui est évacuée par le système de traitement est au-delà des normes environnementales exigées par la loi.

«Nous installons la désinfection par rayonnement ultraviolet depuis 2003 et ce système passe les tests du ministère de l'Environnement sans problème partout où des travaux ont été effectués. Ici, dans le rang Saint-Martin, les eaux usées seront rejetées dans le fossé au bord de la route et s'écouleront comme de l'eau de pluie», indique-t-il.

Source : cyberpresse.ca

Guimond Gagnon, Serge Duchesne, Gaston Duchesne, Gaston Gagnon, propriétaire de la résidence du rang Saint-Martin, Nancy Pilote entrepreneure, Jacques Fortin, président de l'arrondissement de Chicoutimi ainsi que Réjean et Dominic Lepage de la firme Bionest, ont assisté à l'installation.

Le Quotidien, Jeannot Lévesque

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jeudi 17 septembre 2009

Eau de piscine sans chlore ... témoignages ...

Découvrez ci-dessous quelques témoignages de personnes ayant opté pour un traitement sans chlore de leur eau de piscine.

Mme et M. F., Saint Bres, Hérault
« Nous profitons de cet événement pour vous remercier très sincèrement de votre professionnalisme et des bons conseils que vous avez toujours su nous prodiguer depuis la mise en service de notre piscine il y a deux ans.
Nous souhaitons vous informer que votre aide nous a permis d’apprécier pleinement les bienfaits du traitement de l’eau avec la lampe UV, eau sans odeur ni agressivité pour la peau et les yeux.

Nous vous remercions à nouveau pour votre efficacité et aussi vos bons produits. »

M. et Mme G., Marnay, Franche Comté
« Que c’est agréable de se baigner dans une eau inodore !! : ni odeur de sel, ni odeur de chlore.
Avec un système BIO UV, c’est une eau bien traitée pour un bassin de 70m3. Avec, en plus, une régulation de Ph automatique, le traitement de l’eau « se fait tout seul » et le résultat est parfait.
Depuis 2003, je viens de faire la mise en route de printemps pour la 5° saison et tout se passe bien en suivant le protocole BIO UV.
Pour la régulation Ph, il suffit de prendre une simple précaution pour l’hivernage de la sonde : la mettre dans la flacon d’origine avec de l’eau distillée. Tout repart sans même avoir à faire un recalibrage.
Et puis, un service, un accueil téléphonique toujours agréables et efficaces de la part de l’Equipe de BIO-UV. C’est à souligner. »

M. et Mme B., Ventabren, Bouches du Rhône
« Monsieur,
Nous vous faisons part de notre satisfaction pour l’équipement BIO UV que vous nous avez installé en 2002 pour le traitement des eaux de notre piscine. En effet, la qualité de l’eau : l’absence d’odeur et la douceur rendent le bain très agréable.
Il est également à noter que l’entretien des équipements ne présente pas de difficultés particulières. »

M. M., Paris, Ile de France
« Voilà déjà 3 ans que vous m’avez été présenté par un ami commun, M. P., architecte de son métier, et qui m’avait recommandé, lors de la construction de ma piscine, d’utiliser une filtration à base d’une lampe UV avec des produits adaptés à ce système.
Je dois vous exprimer combien ce choix m’a complètement satisfait pour ne pas dire enchanté. Car les produits (Rémanent, Algicide) ont fait la joie de ma famille et mes amis. Ces derniers étaient étonnés de ne pas sentir d’odeurs telles que le chlore. Avec votre système et vos produits nous avons fait la joie de nos amis grands et petits. Ils n’ont pas eu la peau irritée ou les cheveux chlorés.
De puis cet été j’ai installé un abri rétractable. La température de l’eau est montée jusqu’à 30°C et vous m’avez très intelligemment conseillé de mettre du Rémanent Oxygéné et d’utiliser quelques temps de l’Algicide Spécial. En augmentant les picots à 6 par 24h et en filtrant l’eau pendant 15h, j’ai réussi à avoir une eau d’une très grande qualité. Fluide, limpide et légère à souhait.
Je tiens à vous féliciter pour tous vos bons conseils et vous en demanderai d’autres pour l’hivernage.
Aussi je tiens à vous dire que je ne manque pas une occasion pour vous recommander auprès de toutes mes connaissances et amis. »

mercredi 16 septembre 2009

Piscines et spas : une eau saine, sans chlore et... à moindre coût

Plusieurs personnes ne supportent pas le chlore dans les piscines et les spas, sans parler de l'irritation des yeux et de l'odeur pendant la baignade.
Il est aussi désagréable de surveiller constamment les taux de chlore dans l'eau, ce qui explique pourquoi la majorité des propriétaires de piscines se retrouvent avec des problèmes récurrents de mauvaise qualité d'eau.
L'ioniseur Clearwater pour piscines et spas est la solution par excellence pour obtenir une qualité d'eau impeccable et réduire les coûts de l'entretien.

Les dangers de l'eau chlorée
L'eau de consommation provenant d'une municipalité contient environ 0,5 ppm (Parties par million) de chlore. L'eau d'une piscine doit normalement maintenir un taux de 1,5 à 2 ppm pour que le chlore soit efficace comme désinfectant et dans un spa, l'eau chaude doit contenir 5 ppm de chlore, ce qui est très inquiétant pour la santé des utilisateurs réguliers. Le procédé Clearwater permet de limiter ce taux à 0,3 ppm (soit moins que l'eau de consommation municipale) tout en maintenant une eau saine pour les utilisateurs.

Réduit la durée des équipements. Le chlore est un produit corrosif. Il accélère la dégradation des toiles de piscine, des chauffe-eaux, des pompes et même des costumes de bains. Une piscine à faible concentration de chlore peut augmenter la durée des équipements de 50% et plus, ce qui paie directement les frais d'un système Clearwater.

Néfaste pour l'environnement. Le chlore est volatile. C'est un des responsables de la disparition de la couche d'ozone. Restreindre son usage est donc un devoir pour la protection de l'environnement naturel et pour notre santé globale.

Néfaste à la santé. Plusieurs études médicales ont démontré que la baignade en piscine chlorée augmente la fréquence de l'asthme chez les enfants. D'ailleurs, environ 25% des nageurs de compétition font de l'asthme ce qui est fortement au-dessus des moyennes nationales. Plusieurs spécialistes de la santé s'inquiètent aussi de son incidence sur le cancer, car le chlore est en partie absorbé par la peau.

Cause des irritations et des odeurs. Plusieurs personnes sont simplement incapables de se baigner dans une eau chlorée. D'autres ont des irritations aux yeux et à la peau après une baignade dans une eau chlorée sans parler de l'odeur qui persiste sur la peau et dans les cheveux après la baignade.

Le procédé d'ionisation Clearwater
L'ioniseur Clearwater utilise des électrodes d'argent et de cuivre qui relâchent dans l'eau des ions d'argent et des ions de cuivre qui purifient l'eau. Les ions-argent tuent les bactéries et les virus alors que les ions-cuivre éliminent les algues et empêchent leur formation.

Pour les usages commerciaux et industriels. Le procédé de purification de l'eau par l'ionisation cuivre-argent est bien connu par les ingénieurs. Ce procédé de désinfection est utilisé depuis plusieurs décennies dans de nombreux usages commerciaux et fut aussi utilisé dans l'espace pour éviter l'utilisation du chlore comme désinfectant. Il tue pratiquement toutes les bactéries comme celle causant la "Maladie du légionnaire". Reconnu par des spécialistes de la santé, il est utilisé dans des piscines thérapeutiques pour accélérer la guérison des mammifères marins et dans des hôpitaux pour éliminer les risques de contamination de la légionnelle.

Pour les piscines résidentielles. L'eau des piscines et des spas résidentiels peut être entièrement purifiée par ionisation cuivre-argent. Toutefois, un produit oxydant doit être ajouté dans l'eau pour dégrader les huiles naturelles de la peau et les crèmes solaires. Selon le nombre de baigneurs et la fréquence de baignade, une très faible concentration de chlore ou un autre produit oxydant doivent être utilisés à cet effet. Le procédé Clearwater permet de limiter ce taux à 0,3 ppm soit moins que l'eau de consommation municipale qui est à 0,5ppm et beaucoup moins que le taux de 1,5 à 2 ppm qui est recommandé pour les piscines.

Contrairement au chlore: toujours efficace. Que ce soit dans une piscine ou un spa, il est essentiel de maintenir le PH de l'eau entre 7.2 et 7.4 pour que l'eau soit saine à la baignade et éviter des désagréments comme les taches sur la toile ou l'eau troublée. Cependant, il est parfois difficile de maintenir le PH de l'eau constant. À cet effet, le Clearwater est extraordinaire pour maintenir la qualité de l'eau. Contrairement au chlore qui perd son efficacité de désinfection au-dessus d'un PH 8, l'efficacité de purification des ions cuivre-argent demeure intacte avec un PH élevé. Toutefois, les ions-cuivre peuvent alors se déposer et créer des taches brunes sur la toile.

Attention au PH. La dureté de l'eau d'une piscine ou d'un spa est essentielle pour le maintien d'un PH stable. Cette dureté devrait se situer entre 200 et 300 ppm de calcium. Malheureusement, à cette concentration, le calcium forme des dépôts de calcaire dans la plomberie, dans les appareils et sur les éléments chauffants. Le Clearwater peut être couplé à un système qui empêche la formation de dépôts de calcaire tout en maintenant une eau très dure et bénéfique à la stabilisation du PH, le ScaleBlaster. Ceci permet d'augmenter la vie des équipements, de maintenir la qualité de l'eau et de réduire considérablement les coûts d'opération de la piscine en limitant les besoins de filtration à 10 heures par jour.
Pour plus d'informations sur le ScaleBlaster cliquez ici.

Une installation simple et rapide
Le procédé Clearwater s'installe sur tout système de filtration standard entre le filtre à sable et le retour d'eau. Il s'agit simplement d'ajouter les électrodes cuivre-argent ainsi qu'un microprocesseur pour contrôler la teneur en ions dans l'eau. Un test détermine la quantité d'ions nécessaires. Il doit se situer entre 0,2 et 0,3 PPM pour un bon fonctionnement.




Une réduction importante de l'entretien
Une piscine munie d'un ioniseur Clearwater ne devient pas sans entretien mais elle diminue fortement le souci d'une vérification constante des niveaux de chlore et de PH.
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mardi 15 septembre 2009

Les risques du chlore en piscine

Plusieurs études viennent de le confirmer à ceux qui en doutaient encore : L’atmosphère des piscines provoque divers troubles respiratoires chez les employés proches des bassins et aussi chez les utilisateurs...

En effet, le chlore utilisé comme désinfectant provoque la formation de trichloramine, une substance gazeuse qui irrite les muqueuses et les voies respiratoires.
Ce gaz, à l'origine de "l’odeur caractéristique" des piscines, est formé par la réaction du chlore contenu dans l’eau avec les matières azotées apportées par les baigneurs : la sueur et l'urine, principalement.

Evaluer les risques

Pour évaluer le risque encouru par ces salariés, le Pr Jack Howard Jacobs de l'Université d’Utrecht aux Pays-Bas et ses collègues ont questionné 624 d’entre eux.

Sans surprise, ce sont les maîtres nageurs qui ont présenté les gênes respiratoires les plus sévères. Et surtout les plus fréquentes.

Comparés à un groupe contrôle, "leur risque de sinusites et d’enrouements étaient augmentés de 40%". Ils présentent un risque 3,4 fois plus élevé de développer des rhumes chroniques.

Les employés les plus exposés ont un risque 40% supérieur de développer des spasmes de la poitrine comparé au reste de la population néerlandaise, et plus de 7 fois supérieur de souffrir d’essoufflement en marchant.

Ces troubles sont les seuls avancés par les auteurs. Mais d'autres études montrent que ce ne sont pas les uniques inconvénients de ce milieu de travail très particulier.

Des travaux antérieurs avaient déjà pointé du doigt les dangers du chlore.

Mal utilisé, et surtout utilisé à l’excès, ce désinfectant très puissant peut entraîner des sensations de brûlure au niveau des yeux et de la gorge. Et dans des cas extrêmes, des nausées et des vomissements.

Des études menées en Belgique avaient notamment mis en garde les parents de "bébés-nageurs" contre les risques d'exposition fréquentes et prolongées à ces ambiances chlorées.

contaminations-chimiques.info

Sources

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lundi 14 septembre 2009

Y a-t-il mieux que le chlore ?

Pour les piscines familiales, il existe des alternatives aussi efficaces (côté désinfection), mais nettement moins corrosives.

En cas de peau réactive : le nec plus ultra, c'est un système de traitement de l'eau par des ultraviolets, en association avec de l'eau oxygénée. Côté tolérance, il n'y a aucun risque de picotements des yeux ou d'irritation de la peau, même en cas d'allergie. Le « plus » : l'eau paraît toute douce et n'a pas d'odeur. Seul inconvénient : l'investissement initial de plusieurs milliers d'euros pour une grande piscine.

En l'absence de soucis de peau : avec un ozoniseur qui transforme l'oxygène en ozone, l'eau obtenue ressemble à de l'eau de source, mais on est quand même obligé d'ajouter un peu de chlore. Idem avec un électrolyseur cuivre-argent qui permet une réduction de 90 % de l'utilisation de chlore.

Dernières possibilités : le brome, qui désinfecte aussi bien que le chlore, mais est mieux toléré, à condition de ne pas dépasser les doses préconisées (il est juste un peu plus cher), et le PHMB - Polymère d'Hexa Méthylène Biguanide - qui est un dérivé d'antiseptique bien toléré, mais obligeant à vidanger totalement son bassin au moins tous les trois ans.

Source : magazine-avantages.fr
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jeudi 10 septembre 2009

Une poutre métallique s'effondre à la piscine

Loches. Une poutre métallique a cédé dans la nuit de lundi à mardi.
Le site est fermé pour plusieurs semaines.


Loches vient de frôler un drame. Dans la nuit de lundi à mardi, une poutre métallique de la piscine municipale, d'environ 6 m de long, a cédé en raison visiblement d'un niveau de corrosion très élevé. Elle a entraîné dans sa chute une baie vitrée de quelque 18 m2 qu'elle supportait. Si l'accident s'était déroulé en présence de public, le bilan aurait pu être dramatique.

C'est l'agent municipal en charge de l'entretien qui a découvert les faits mardi matin, vers 6 h. Les services techniques de Loches ont alors dépêché du personnel sur place afin de procéder au déblaiement. Ils ont dégagé ladite poutrelle ainsi qu'environ 300 kg de débris de verre.
La piscine, construite il y a une quarantaine d'années, a été immédiatement fermée au public. Pour une durée d'au moins six semaines, a précisé le maire de Loches, Jean-Jacques Descamps. « Nous allons faire appel à une société spécialisée afin d'effectuer une expertise. » L'objectif, ajoute l'élu, est de pouvoir rouvrir pour « la Toussaint ».
En attendant, « nous informons les clubs, les écoles, les collèges, les lycées » qui ont l'habitude de fréquenter la piscine. Et le maire d'indiquer se lancer à la recherche de solutions pour pallier cette fermeture. « On va voir avec les piscines de Châtillon, de Descartes» s'il est possible d'accueillir des scolaires du Lochois. Un événement qui « justifie pleinement » la construction du futur centre aquatique intercommunal à Loches, au Coteau du Roi, dans le quartier de Puygibault, porté par la communauté de communes Loches Développement.
Reste que les appels d'offres (7 millions d'euros HT estimés) ne seront clos que ce vendredi 11 septembre. Le début des travaux de terrassement est prévu en novembre de cette année pour une livraison au printemps ou à l'été 2011.

“ C'était
prévisible ”
dénonce
l'opposition


En attendant, l'opposition municipale monte au créneau. A ses yeux, tout cela « était prévisible », s'insurge Jean-Marie Beffara. « La piscine, comme beaucoup d'autres équipements sportifs » de Loches, « a fait l'objet d'investissements minimum au cours des deux derniers mandats de Jean-Jacques Descamps […] Aucuns travaux d'importance de remise à niveau n'ont été effectués dans l'attente du nouvel équipement (le futur centre aquatique). » William Richard
nr.loches@nrco.fr
Source : lanouvellerepublique.fr

mercredi 9 septembre 2009

Local pool might be hazardous to your health

Hundreds of public swimming pools and spas in the Atlanta area have been closed for critical health violations this summer, conditions that potentially put bathers at risk of catching waterborne diseases.

While many pools pass all inspections, inspectors found no chlorine in the water at least 75 times — just in Gwinnett County.

Proper chlorine and pH levels protect swimmers against infection by bacteria and parasites, but area inspectors regularly issue citations for critical water chemistry violations and temporarily close pools run by apartments, condos, neighborhood associations, hotels and gyms.

Some pools and spas have been cited repeatedly, inspection records show, raising questions about how consistently the water is maintained when the inspector isn’t there.

“If the facility is run by the ignorant or the apathetic, that’s usually a problem,” said Tom Lachocki, chief executive officer of the National Swimming Pool Foundation, a leading trainer of pool operators.

“Fortunately, most of the illnesses one can get in a pool are not catastrophic,” he said. “But you don’t go to the pool to get diarrhea or a rash or sore eyes.”

Nobody knows how often people are sickened in Atlanta or nationally; most illnesses go unreported.

“Traditionally when people get a GI [gastrointestinal] illness, they think: What did I eat last night? We don’t tend to think about our pools,” said Michele Hlavsa, an epidemiologist in the healthy swimming program at the Centers for Disease Control and Prevention in Atlanta.

Over the past few years, the CDC has received more reports of outbreaks associated with recreational water use at pools and water parks. Individual reports of people being infected with the parasite cryptosporidium, which often is associated with pool outbreaks, are up dramatically.

Concerned about lax pool maintenance, the CDC recommends swimmers always test the water themselves before diving in, whether at outdoor pools in the summer or year-round indoor pools. Simple test strips — purchased inexpensively at home improvement stores and pool supply shops — change color to show the pool’s chemistry and whether it’s safe.

A pool inspector may only check the pool one to three times a year, Hlavsa said. “I wouldn’t want to put my young child in a pool if I didn’t know it was well maintained,” she said.

Children’s wading pools, because of their shallow depth and smaller quantity of water, are more prone to water chemistry problems. Yet keeping chlorine and pH at proper levels is especially important in pools frequented by children who may have what the pool industry calls “fecal accidents.”

Inspection records reviewed by the AJC show chemistry problems at a range of pools and spas.

● The kiddie pool in Cobb County’s Sheffield subdivision failed five of its seven inspections since June, records show. Home-owners association treasurer Diane Ellicott said a pool vendor had difficulty getting the chlorinator adjusted properly. A neighborhood volunteer tests the water daily, she said, and the vendor comes twice a week to perform maintenance.

● At the Christopher Robbins subdivision in Cobb, the wading pool failed three of its four inspections in June and July because of water chemistry problems, records show. Scott Inglis, treasurer of the homeowners’ association, in an e-mail called the violations “very small incidents” and said the pool management firm reacted appropriately so the pool could reopen.

● Three pools at the Bexley Apartment Homes in Marietta failed most of their inspections this summer, records show. Violations included problems with water chemistry and missing safety equipment. Officials at Fairfield Residential, which manages the complex, didn’t grant an interview.

● In the Gwinnett County active adult community of Brookhaven at Sugarloaf, inspectors twice closed the pool after tests on June 11 and July 8 found no chlorine. In each case the water was corrected and the pool allowed to reopen in a day or two, records show. Thomas Olson, chief operating officer of Jim Chapman Communities, said the chlorine was diluted by heavy rain in June and an equipment malfunction caused the problem in July. Olson said his firm’s staff only tests the pool’s water every other day and the pool company comes weekly.

● The spa at Bally Total Fitness on Jimmy Carter Boulevard in Norcross was closed by inspectors three times from March through May for water chemistry problems. It passed two recent inspections, then was cited for low pH in July. Bally didn’t respond to interview requests.

● The Mall of Georgia’s spray pool — a series of water jets children often play in outside the food court — was ordered closed July 6 by an inspector after a test showed the water had no chlorine and the pH level was too low. Joe Piccolo, manager of the Gwinnett County mall, initially refused, records show. It was allowed to reopen the next day. Inspectors cited it again on July 24 for low pH. In an interview, Piccolo noted that the fountain has been in place for a decade and only started being inspected by the county last year. “We inspect it twice daily and it’s not unsafe to anybody,” he said.

For a study published last year, CDC researchers sampled water at 160 Atlanta-area pools to see how many were contaminated with cryptosporidium and another diarrhea-causing parasite, giardia. They found one or both of the parasites in 8 percent of the pools. Although the sample size was small, researchers said the results suggest contamination may be relatively common in some pools.

Since 2001, Georgia’s health department has confirmed seven pool-related outbreaks: one each at a camp, school and hotel; the rest were at subdivision pools or private homes.

Georgia’s best-known waterborne outbreak occurred in the summer of 1998 when 26 children were sickened by a strain of E. coli bacteria after playing in the kiddie pool at White Water Park in Marietta. Seven of the children were hospitalized; one died. A state investigation found the chlorine level was too low. The outbreak raised awareness about the importance of proper chlorine levels.

Today, large water parks and aquatics centers tend to have well-trained staff that pay close attention to water chemistry, health officials said. White Water passed all its inspections in 2009, health department data show.

But when it comes to pools and spas at places like apartments and hotels, the training can vary. “The person running the pool is probably responsible for a hundred other things. People tend to underestimate what it takes to run a pool well,” Hlavsa said.

After swimming in a Smyrna hotel pool last month, 3-year-old Adam Kirkham came down with a nasty rash of red pustules, according to Cobb County health department records.

“It looks almost like chickenpox,” said his father, Scott Kirkham, who filed a complaint with the health department. “We were really concerned.”

Back home in Tennessee, Adam was diagnosed with folliculitis and given antibiotics, Kirkham said. The bacteria that causes the rash is often associated with poorly maintained spas and pools.

The only pool the boy had been in was at the Atlanta Inn & Suites, which also goes by the name Magnuson Hotel-Atlanta. The family stayed there July 10-12 during a trip to visit the children’s museum and the Georgia Aquarium.

When a Cobb health inspector investigated Kirkham’s complaint on July 22, the pool was closed for maintenance. There was no chlorine in it and the water was so cloudy the main drain wasn’t visible. Because the hotel had not kept logs of its tests for chlorine and pH, it was impossible for the inspector to check what the chemical levels were on the day the boy swam, the investigation report said. It passed a reinspection on July 29.

In August 2008, the pool was cited for having no chlorine. Cobb inspectors closed the pool April 9 for pH problems. The pool failed a reinspection the next day for the same reason. It passed a third inspection on April 14, the last before the Kirkhams stayed there.

Jay Panchal, a co-owner of the hotel, said in an e-mail that the hotel uses a professional pool maintenance company, but he declined to comment further.

Hotel pool violations

While many hotel pools and spas pass all their inspections, records show critical violations at others.

Inspectors found no chlorine in the pool at the Hyatt Place on Venture Parkway in Duluth when they tested it June 11. Hyatt officials said a “brief pump malfunction” caused the problem. It’s been fixed and the pool passed two follow-up inspections.

DeKalb inspectors closed the pool at the Atlanta Marriott Perimeter Center on April 14 because it lacked chlorine. It was allowed to reopen two days later, records show. A Marriott spokesman said the hotel tests the water twice daily and that the readings showed the water was fine the night before the inspector arrived. The pool has had no further problems, he said.

The pool at the Holiday Inn-Atlanta Northeast on Clearview Avenue has failed four inspections since May 28 for water chemistry problems, including low chlorine and high pH. Most recently, DeKalb inspectors closed the pool Aug. 5, citing low chlorine and pH.

The spa at the Courtyard by Marriott-Peachtree Corners in Norcross has been closed twice this year by inspectors. On July 21, the spa was cited for having an extremely low level of chlorine and a pH level that was too high. On May 29, its pH was too high, a condition that reduces the killing power of chlorine.

The Motel 6 on Panola Road in Lithonia failed three inspections in June and was ordered closed each time when inspectors detected little or no chlorine in the water. Motel manager Dipen Patel said the problems were caused by faulty automated equipment, which has been replaced.

Giardia

● Another microscopic parasite that lives in the intestines of infected humans and animals. It is found in water, food, soil and on surfaces contaminated by feces. It can survive outside the body for months.

● People are infected by swallowing the parasite, often in contaminated water.

● Symptoms, which begin one to two weeks after infection, include diarrhea, gas, stomach cramps and nausea and can last two to six weeks. Several prescription drugs can shorten the duration of the illness.

● Illnesses caused by giardia are required to be reported to health officials. In 2007, the most recent national data available, the CDC received more than 19,000 reports of giardiasis. Georgia has reported 595 cases so far this year, up from 413 cases during the same period in 2008.

Pseudomonas aeruginosa

● This common bacteria causes skin rashes referred to as “hot tub rash” or folliculitis.

● Symptoms can include a bumpy red rash and pus-filled blisters around hair follicles. The rash may be concentrated under a person’s swim suit because it allows contaminated water to stay in contact with skin for a longer period.

● The rash usually appears within a few days of exposure.

● Most rashes clear up on their own without scarring. A doctor may prescribe an antibiotic in severe cases. Cases of the disease are not required to be reported to health officials.

Cryptosporidium

● A microscopic parasite that lives in the intestines of infected humans and animals, causing a diarrheal disease called cryptosporidiosis or “crypto.” People are infected by swallowing contaminated water, eating raw fruit or vegetables that are contaminated, or touching their mouths with contaminated hands. The parasite can survive for more than a week in a pool with 1 part per million of chlorine.

● The CDC estimates there are 300,000 cases of crypto in the U.S. each year, though the vast majority are never confirmed. There were more than 11,000 cases reported to CDC in 2007, the most recent national data available. Georgia has reported 228 crypto cases to CDC so far this year, up from 138 reported during the same period in 2008.

Ask questions

● How often do staff test the water? At a minimum, chlorine and pH levels should be tested twice daily; hourly when in heavy use.

● How much training does the pool’s operator have? Have they been certified through a national training course?

● Is a trained operator available on weekends, during peak use?

Use your senses

● Do you smell lots of chlorine? That’s a red flag. It often means there’s little chlorine available to kill germs because it’s already bound up with urine, feces, sweat and other contaminants, said Ryan Cira, environmental health manager for the DeKalb Board of Health.

● Is the water clean? You should be able to clearly see the bottom of the pool.

● Can you hear pumps and filtration systems running?

Check it out

● Ask the pool’s operator to show you their recent inspection reports or look at them at the county health department. DeKalb County posts some inspection information online at tinyurl.com/kweco5

● Test the water yourself with test strips purchased at a home improvement store.

Be responsible

●Don’t swim when you have diarrhea.

● Avoid getting pool water in your mouth and don’t swallow it.

● Change diapers in a bathroom — not poolside.

● Shower before swimming.

● Take children on frequent bathroom breaks and change diapers often.

Report problems

● If you suspect a health or safety problem at a public pool or spa — or believe you’ve been sickened at one — contact your county health department.

For more tips, go to www.cdc.gov
/healthySwimming/

How we got this story

The AJC used the Georgia Open Records Act to request pool and spa inspection and closure data from the health departments in Cobb, DeKalb, Fulton and Gwinnett counties. All counties provided data, except Fulton, where officials said their computer system did not allow data to be exported.

Each county records data differently, making a comprehensive analysis difficult.

Gwinnett’s data itemized 289 instances where inspectors closed pools and spas in 2009, the reason for the closure and whether they passed or failed follow-up inspections. They included 75 closures for no chlorine and 97 for chlorine levels that were too low. .

Cobb’s data covered 2,456 inspections in 2009, including 88 instances where pools or spas were closed for critical violations. Pools were recorded as failing 461 inspections and the “fail” code sometimes also indicates a closure, county officials said.

DeKalb’s data had inspection scores but didn’t record whether the pool had been closed for critical violations. The AJC was able to identify some closed pools by manually searching online inspection report information.

After reviewing the data, the newspaper reviewed copies of inspection reports for certain facilities. The Open Records Act also was used to obtain copies of state outbreak investigation reports.

Got a tip?

Do you suspect government waste, a consumer rip-off or a threat to public safety? Tell us what you want investigated. E-mail spotlight@ajc.com or call 404-526-5041.

Source : www.ajc.com

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mardi 8 septembre 2009

Piscines publiques artificielles, bientôt réglementées ?

Dans un rapport réalisé à la demande du gouvernement, l’Afsset réclame la mise en place urgente d’une réglementation sanitaire «stricte» pour les baignades artificielles et les piscines biologiques ouvertes au public.
La qualité de l’eau serait, selon elle, susceptible de présenter des risques pour la santé...
Depuis dix ans, les baignades artificielles et les piscines dites "naturelles" sont en plein essor en France. Un développement que l’Afsset (Agence française de sécurité sanitaire de l’environnement et du travail) voit d’un très mauvais œil.
Dans un rapport publié mi-juillet, elle réclame en effet la création "urgente" d’une réglementation "stricte" pour ces bassins qui, malgré le fait qu’ils soient ouverts au public, ne font jusqu’ici l’objet d’aucun contrôle. "La qualité des eaux de ces baignades, du fait notamment du confinement de l’eau et d’une fréquentation élevée, est susceptible de présenter un niveau de risque sanitaire supérieur aux baignades en eau libre ou aux piscines, informe-t-elle. L’eau, poursuit-elle, ne court pas (ou peu) naturellement et n’y est pas désinfectée".

Dans son collimateur, deux types de baignades : celles créées artificiellement "où l’eau est captée et maintenue captive" comme, par exemple, les plans d’eau, les bassins d’eau de mer ou bien encore les étangs et celles à traitement par filtration biologique plus communément appelées les "piscines biologiques" ou "écologiques". Deux catégories très hétérogènes mais qui répondent à la même définition de "baignades en eau captée et captive traitée ou non, mais de nature non désinfectée et désinfectante".

Des dangers identifiés
A la suite de différentes expertises, l’Afsset a ainsi pu identifier plusieurs sources de pollution pouvant nuire à la santé des baigneurs. Les baignades artificielles étant alimentées par des eaux naturelles, il semble que le principal danger provienne de l’environnement qui peut, dans certains cas, être contaminé par des produits chimiques. Les algues dont la prolifération est rapide dans ce type de bassin, sont également pointées du doigt. "Certaines espèces productrices de toxines peuvent conduire à une intoxication aigue", alerte l’Afsset. Reste enfin les baigneurs eux-mêmes porteurs de germes pouvant entraîner "divers pathologies dont certaines graves chez les individus sensibles" : infections, troubles gastro-intestinaux, maladies respiratoires ou cutanées...

Pour les protéger, l’Afsset a établi une liste précise de recommandations. Elle y demande notamment de réaliser un recensement de ces baignades, de mettre en place des analyses microbiologiques, d’instaurer des mesures d’hygiène pour les baigneurs, de limiter leur nombre ou encore d’imposer un délai maximal de 12 heures pour le renouvellement de l’eau.

Piscines "biologiques" : des améliorations requises
A noter que dans son avis, l’Afsset s’attarde longuement sur le cas des piscines "biologiques" ou plutôt, comme elle préfère les appeler, des baignades à traitement biologiques. Selon elle, "le niveau de maîtrise des risques sanitaires proposé par les constructeurs est aujourd’hui insuffisant pour un développement libre de ces baignades en fréquentation publique". Elle les invite par conséquent "à faire un effort de recherche et développement" pour améliorer la conception des installations et des systèmes de traitement naturel des eaux. Pour finir, l’Afsset propose d’inclure les baignages à traitement biologiques dans un programme expérimental spécifique. Il s’agirait de réaliser un suivi hebdomadaire de la qualité des eaux, de limiter le nombre de baigneurs et, enfin, d’amélioration les mesures d’hygiène. Un programme, qui étant donné l’avancement du calendrier, ne pourra sans doute être mis en place que l’été prochain.
C.Chahi (07/09/2009) pour batiactu.com