vendredi 28 août 2009

Un rapport sur les baignades artificielles publiques

L’Afsset publie un rapport sur les baignades artificielles ouvertes au public.

Ces baignades se sont développées ces dernières années, entre les « baignades naturelles » de pleine eau (mer, lac, rivière) et les piscines publiques.
Elles ne font cependant l’objet d’aucune réglementation sanitaire et donc d’aucune obligation de contrôle des eaux. Il s’agit de baignades créées artificiellement où l’eau est captée et maintenue captive comme, par exemple, les étangs artificiels, réservoirs, barrages, gravières, bassins à marée, ainsi que les baignades à traitement par filtration biologique, souvent appelées piscines « naturelles », « biologiques » ou « écologiques ». Leur caractère plus naturel que les piscines leur vaut un grand essor. C’est pourquoi l’Afsset considère qu’il est urgent de les réglementer pour en organiser le développement et écarter les risques sanitaires principaux.
L’Afsset recommande qu’une réglementation stricte soit mise en place pour la protection des baigneurs dans ces baignades artificielles ouvertes au public.
Elle demande en particulier :

1- Un recensement de ces baignades et la mise en place d’analyses microbiologiques. Pour cela, l’Afsset fournit un guide de classement de ces baignades et une liste de 6 paramètres microbiologiques à surveiller

2- Sans attendre les résultats de ces analyses, d’appliquer les meilleures pratiques disponibles.
L’Afsset demande de faire rentrer les baignades à traitement biologique actuelles dans un programme expérimental avec la mise en place sans délai d’un suivi hebdomadaire de la qualité des eaux, la limitation du nombre de baigneurs et l’amélioration des mesures d’hygiène. Les concepteurs sont invités à faire un effort de recherche et développement pour améliorer la conception des installations.

Cette expertise a été réalisée à la demande du ministère de la santé et du ministère du développement durable.

Source : francematin.info

jeudi 27 août 2009

Canada : de l’argent pour les infrastructures municipales

Cinq municipalités obtiennent un premier versement de la taxe sur l’essence.

Les municipalités ont jusqu’au 31 décembre 2009 pour dépenser l’argent provenant du transfert de la taxe fédérale sur l’essence. Le ministre d’État à Développement économique Canada pour les régions du Québec, Denis Lebel, entouré de ses homologues municipaux, a dévoilé, au nom du gouvernement fédéral, l’ampleur des montants que recevront cinq localités du comté Roberval—Lac-Saint-Jean.
Roberval, Lac-Bouchette, Saint-François-de-Sales, Saint-Eugène-d’Argentenay et Sainte-Jeanne-d’Arc ont reçu un premier versement de 1 792 142 $ par le biais de ce programme. Ils recevront 2 966 137 $ d’ici la fin de l’année. Les maires présents sur place apprécient de disposer d’une telle enveloppe pour la bonification des infrastructures.

Le ministre Denis Lebel a tenu à rappeler que ce programme, une initiative du gouvernement conservateur, a été renouvelé pour la période 2010-2014 et deviendra ensuite permanent. Il donne un bon coup de pouce aux municipalités pour le renouvellement de leurs infrastructures.

La Ville de Roberval recevra 1 683 578 $ d’ici la fin de l’année 2009. Ces fonds sont utilisés pour la réalisation du plan d’intervention et la réfection des conduites d’aqueduc et d’égouts des rues Roberval, Boivin, Plante, Lavallée, Simard et Dequen.

Lac-Bouchette a droit à 376 259 $. La municipalité a procédé à l’acquisition d’un appareil de désinfection à ultraviolet pour son système de traitement de l’eau. Les études préliminaires pour le remplacement du réservoir d’eau potable et un plan d’intervention sur le renouvellement des conduites d’aqueduc et d’égouts seront effectués.

À Saint-François-de-Sales, un montant de 179 602 $ a été dépensé afin de réaliser un plan d’intervention pour le renouvellement des conduites d’eau potable et d’égout. La municipalité a droit à 299 336 $ au total. Le maire Victor Desgagné a toutefois soulevé une problématique. Après avoir lancé les soumissions pour la réfection de la rue de l’Église, il s’est avéré que la facture serait plus élevée de 100 000 $ par rapport aux prévisions. Saint-François-de-Sales n’a pas les reins assez solides pour se permettre cette dépense. Les élus craignent de perdre le montant restant à la taxe sur l’essence qui doit être dépensé avant la fin de l’année. Des interventions sont effectuées auprès des paliers de gouvernement afin de trouver une solution.

Les municipalités de Saint-Eugène-d’Argentenay et de Sainte-Jeanne-d’Arc reçoivent respectivement 283 341 $ et 323 623 $.

Rappelons qu’en vertu de l’entente, le gouvernement fédéral retourne une partie de la taxe sur l’essence au gouvernement du Québec qui le redistribue aux municipalités. Entre 2005 et 2010, le Québec recevra 1,151 milliard de dollars. Le gouvernement provincial ajoute 475,7 millions $ à ce montant.
Photo :
Le maire de Lac-Bouchette, Jocelyn Bernier, le maire de Saint-François-de-Sales, Victor Desgagné, le ministre Denis Lebel, la mairesse de Saint-Eugène-d’Argentenay, Françoise Boudreault, et le maire de Roberval, Michel Larouche.(Photo : Daniel Migneault)

Source : www.letoiledulac.com
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vendredi 21 août 2009

Alerte à la piscine à cause d'un staphylocoque

Coup dur pour la piscine municipale. Vendredi après-midi, des anomalies bactériologiques ont été repérées dans les résultats d'analyses du bassin olympique mené par le laboratoire départemental agréé par la Direction départementale des affaires sanitaires et sociales ( Ddass). La municipalité en a été informée, décidant « par souci de précaution maximale à l'égard des usagers » de vider immédiatement le bassin de 50 mètres et de le nettoyer de fond en comble ce week-end.

Il faut savoir qu'en ces temps de forte chaleur, des analyses sur la qualité de l'eau sont effectuées régulièrement dans cette piscine, fréquentée l'été par plus de 700 baigneurs par jour. Vendredi, « les résultats sanitaires obtenus étaient inhabituels et loin d'être parfaits », confie le maire, Guy Durand.

Un constat confirmé par la Ddass qui a découvert la présence d'une bactérie indésirable : un staphylocoque.

Suite à ce contrôle de routine, la municipalité a préféré fermer l'établissement jusqu'à nouvel ordre. Le temps pour elle de procéder, hier, à la vidange du bassin extérieur et au nettoyage des parois, plages et canalisations. Suite à cette "chloration de choc", 2 000 m 3 d'eau ont été puisés dans les nappes phréatiques pour le remplir à nouveau.
Maintenant, une question est sur toutes les lèvres : cet agent infectieux peut-il avoir des conséquences sur celles et ceux qui ont récemment fréquenté les lieux ? « Non, rassure le maire. L'eau était impropre à la baignade mais il n'y avait aucun danger pour les personnes. » Néanmoins, le staphylocoque peut s'avérer virulent sur certains organisme s. « Il est conseillé, en cas d'apparition de symptômes cutanés d'aller consulter » , préconise un médecin.

Enfin, concernant la présence de ce germe, tout porte à croire qu'elle n'est pas liée à une difficulté de maintenance mais plutôt à la baignade d'un usager porteur de la bactérie juste avant le prélèvement. Toujours est-il que si elle ne remet pas en question la qualité de l'entretien du centre aquatique, les agents municipaux et les maîtres-nageurs restent dubitatifs : « De mémoire, on n'avait jamais vu ça depuis son inauguration (ndlr : en 1969) ».
Lundi, la Ddass réalisera de nouvelles vérifications bactériologiques. Si elle apparaît en conformité, « la piscine pourra alors rouvrir avec une eau irréprochable dès mercre di », affirme le maire. D'ici là, avec le Tarn et la Dourbie à disposition, le public ne se retrouve pas totalement à sec.

Jérémy BEAUBET

Source : midilibre.com

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jeudi 20 août 2009

Chlore et asthme, même en piscine découverte !

Les études concordent pour dire que les vapeurs de chlore dégagées dans les piscines augmentent le risque d'asthme.

Pour la première fois, une étude démontre que cette relation entre hyperactivité bronchique et chlore s'observe même chez ceux qui fréquentent des piscines découvertes. Solution pour les plus assidus : choisir une piscine utilisant un autre système de désinfection.

Le chlore augmente le risque d'asthme

Selon une étude réalisée au Pays-Bas auprès de 600 maîtres nageurs exerçant en piscine couverte, cette profession est associée à une augmentation du risque de gênes respiratoires (1). En effet, chez ces personnes exposées toute la journée au chlore, les symptômes respiratoires sont plus sévères et plus fréquents que dans la population générale. Le risque de sinusites, d'enrouements et d'hyperactivité bronchique est accru de 40% chez les maîtres nageurs.
Une étude italienne cette fois s'est intéressée à une trentaine de nageurs de compétition âgés en moyenne de 14 ans, tous indemnes d'asthme. Après avoir passé des tests respiratoires, il s'avère que 73% d'entre eux présentaient une sensibilité aux allergènes aériens classiques, soit près de deux fois plus que dans la population générale, et 50% d'entre eux souffraient d'une hyperréactivité bronchique. Or ces deux facteurs sont prédictifs de l'apparition d'un asthme.

Le chlore est à l'origine de gaz irritants, les chloramines

Selon cette 3e étude présentée lors du 17e congrès de la Société européenne de pneumologie, le risque de présenter un asthme est multiplié par trois chez les enfants et ados qui fréquentent régulièrement les piscines désinfectées au chlore. Et cette conclusion est aussi valable en piscine découverte, alors que jusqu'à présent, on pensait que seules les piscines couvertes pouvaient favoriser l'apparition d'un asthme.
Cette étude a porté sur 850 adolescents âgés en moyenne de 15 ans, fréquentant 3 collèges où les cours de natation avaient lieu en bassin découvert. Deux bassins étaient désinfectés au chlore. Le 3e l'était par un système d'ionisation cuivre-argent et servait de témoin. Connaissant le nombre d'heures passées en piscine, les antécédents d'allergie et d'asthme, le mode de vie, etc., de tous les sujets, les chercheurs en arrivent à la conclusion suivante : les ados qui avaient cumulé plus de 500 heures de piscine découverte, voyaient leur risque d'asthme multiplié par 3, comparativement à ceux qui n'avaient jamais fréquenté un bassin contenant de l'eau chlorée.

Le problème est donc bien lié au chlore, mais la responsabilité en revient plus précisément aux gaz irritants qui sont issus du chlore et qui stagnent au-dessus de l'eau, à environ une dizaine de centimètres de la surface, et qui sont à l'origine de l'odeur caractéristique des bassins.
En effet lorsque le chlore se trouve en contact des matières azotées, c'est-à-dire avec des sécrétions humaines (sueur, salive, urines), il se produit une réaction chimique dégageant des gaz irritants pour les voies respiratoires, notamment des chloramines.

En conclusion, il ne faut pas abandonner la piscine, car la natation est un sport particulièrement bénéfique à la santé. En revanche, choisissez idéalement une piscine utilisant un système d'ionisation cuivre-argent, plutôt que la désinfection au chlore

(1) Jacobs J.H. et coll., Eur. Respir. J., 29 (4) : 690-8, 2007.
(2) Brusasco V. et Rossi G., Université de Gêne, Italie.
(3) 17e congrès de la Société européenne de pneumologie, 15-19 septembre 2007, Stockholm, communication du Pr Nickmilder M., Université de Louvain, Belgique.

Dr Philippe Presles
01/10/2007
17e congrès de la Société européenne de pneumologie, 15-19 septembre 2007, Stockholm.

Source : e-sante.fr
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samedi 15 août 2009

Lacs et rivières : avant de vous jeter à l'eau…

Seuls trois lacs sont autorisés à la baignade en Haute Garonne. Mais les baigneurs d'eau douce bravent les interdits.

L'été, à La Ramée, c'est comme à la plage. Mais la baignade y est interdite, l'eau ne répond pas aux critères de la DDASS. Photo DDM, Xavier de Fenoyl
L'été, à La Ramée, c'est comme à la plage. Mais la baignade y est interdite, l'eau ne répond pas aux critères de la DDASS. Photo DDM, Xavier de Fenoyl

Tout le monde ne part pas à la mer et n'a pas non plus une piscine dans son jardin. Alors l'été, lorsque le soleil cogne, ceux qui restent chez eux ou qui bossent n'en ont pas moins envie de se rafraîchir les idées, de se baigner. Promenez vous ces jours ci du côté des rives de l'Ariège, au bas des falaises de Clermont-le-Fort, entre Venerque et Labarthe sur -Lèze, faites un saut jusqu'au bord du lac de la Ramée… un monde fou vient y faire trempette, lézarder, dans une ambiance de plage, draps de bain déployés et la glacière à portée de main. Mais les baigneurs d'eau douce ne savent pas toujours où ils mettent les pieds. Aussi, avant de vous jeter à l'eau, quelques conseils pour avoir, les idées claires.

En Haute-Garonne, seuls trois plans d'eau sont autorisés à la baignade, avec des lieux aménagés et surveillés à cet effet. Le Lac de Saint-Férréol, celui de l'Isle en Dodon et de l'Orme blanc à Caraman. Sur ces trois sites, des analyses d'eau sont effectuées tous les 15 jours durant la saison estivale par le service Santé Environnement de la DDASS.

La baignade est interdite partout ailleurs. Soit pour des dangers objectifs de qualité d'eau bactérielle, comme les eaux de surface qui peuvent être polluées par des eaux usées (ex : en aval de la station Ginestous dans le nord toulousain) ou à la suite d'orages, avec les ruissellement des réseaux pluvieux qui sont porteurs de bactéries, par contact ou ingestion.

On s'étonne souvent que la baignade soit interdite dans des plans d'eau comme La Ramée, Cazères, Peyssies ou Nailloux. Encore faudrait-il que ces mêmes lacs aient « une limpidité d'eau à un mètre de profondeur » pour pouvoir y faire trempette, comme le stipule la réglementation sanitaire.

L'eau pure de l'Ariège

Direction nos deux rivières aux portes de Toulouse : l'Ariège et la Garonne. Si la baignade y est déconseillée car non surveillée (voir notre encadré), il n'y a pas de risque de montée brutale des eaux, liée à des lâchers d'eau. Mieux. « L'eau dans l'Ariège, en amont de Portet où elle rejoint la Garonne, y est d'une transparence et d'une excellente qualité », indique t-on au SMEAG (Syndicat mixte d'études et d'aménagement de la Garonne). Car depuis le 25 juillet, 60 % de l'eau de l'Ariège, qui vient en soutien d'étiage à Garonne, provient des lacs pyrénéens. Ces lâchers d'eau depuis les barrages du Vicdessos, à raison de 15 m3 par seconde, alimentent l'aval de l'Ariège aux portes de Toulouse, avec un débit 25m3 par seconde. Ici pas de risque à priori de baïne…


A vos risques et périls

Dans la mesure où la baignade n'est pas autorisée, par définition, elle est interdite. Toute personne qui se baigne dans les cours d'eau, lacs, étangs, plans d'eau… dont l'accès est libre et qui n'ont fait l'objet d'aucune organisation particulière, le fait à ses risques et périls. Cependant, dans les communes, le maire dispose d'un pouvoir de police spécifique aux baignades (Art. L2213-23 du code général des collectivités territoriales), renforcé par une directive européenne en 2006. Dès qu'un site est régulièrement fréquenté qu'il soit aménagé ou non, et s'il ne fait pas l'objet d'une interdiction permanente de baignade (comme des panneaux), il s'agit juridiquement d'une eau de baignade. La jurisprudence montre que la responsabilité du maire peut être engagée pour défaut d'information et de mise en œuvre de mesures adaptées à destination des utilisateurs d'un site qu'il savait fréquenté.

Source : ladepeche.fr

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vendredi 14 août 2009

21 jeunes intoxiqués au chlore à la piscine de Bertrix

La vingtaine d'enfants néerlandophones intoxiqués au chlore vendredi à Bertrix (Belgique) sont sortis des hôpitaux. L'eau de la piscine sera analysée lundi.

Les jeunes ont rejoint leur groupe "Vacances Vivantes - Top Vakantie" séjournant au domaine "Le Terme" à Herbeumont. Ils ont été gardés en observation durant la nuit de vendredi à samedi, mais sont sortis des hôpitaux d'Arlon, Bastogne, Libramont et Marche.

Les enfants avaient souffert de quintes de toux et d'irritations aux yeux et à la gorge lors d'une animation à la piscine communale de Bertrix. Les pompiers et la protection civile ont procédé à des analyse samedi matin.

Un organisme agréé sera dépêché sur les lieux lundi matin. La piscine reste actuellement fermée avant de connaître les raisons précises de cet incident. Il pourrait s'agir d'un problème technique au niveau d'un doseur de chlore qui serait resté bloqué. Du côté du groupe de vacances, on précise que les enfants sont en pleine forme et ont repris part aux animations.

Cela n'empêche qu'une plainte pourrait être déposée.

Source : rtbf.be

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jeudi 13 août 2009

Delta UV : EM Séries

EM Series
NSF – 50 Certified for the eradication of Cryptosporidium! Engineered for flow rates up to 4000 GPM ! Environmentally friendly while providing continuous treatment for immediate disinfection and dechloramination.

Exceeds standard regulatory control requirements. Complete with wiper system, UV-C, flow and, temperature monitors !
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For further information on UV disinfection, click here to go to the International Ultraviolet Association website

Source : deltauv.com
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mercredi 12 août 2009

Delta UV : ELP Séries - semi commercial -

ELP Series
Engineered specifically for flow rates up to 400 GPM, the ELP series provides a drastic reduction in chloramines and the continuous treatment of Cryptosporidium, Giardia and the inactivation of harmful bacteria.

The ELP series is a low pressure system that offers bacteriological control results that exceed regulatory standards !

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Miscellaneous Articles

For further information on UV disinfection, click here to go to the International Ultraviolet Association website

Our NSF – 50 certified ELP Series is the most affordable solution for the Sanitation and Dechloramination of commercial pools, spas and water features.

Source : deltauv.com
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Delta UV : ELP Séries

ELP Series
Our NSF – 50 certified ELP Series is the most affordable solution for the Sanitation and Dechloramination of commercial pools, spas and water features.

Engineered specifically for flow rates up to 400 GPM, the ELP series provides a drastic reduction in chloramines and the continuous treatment of Cryptosporidium, Giardia and the inactivation of harmful bacteria.

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Source : deltauv.com
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